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être aimé pour qui tu es

On aime les gens pour ce qu’ils sont, pas pour ce qu’ils font.


J’ai passé des années à vouloir plaire.

À en faire dix fois trop.

À me surcharger d’actions, de réussites, de preuves à donner… en espérant recevoir un jour cette reconnaissance ultime que j’attendais et que je n’ai jamais eue.


Et puis, j’ai compris.

On ne nous aime pas pour ce qu’on fait.

On nous aime pour ce qu’on est.


Regarde le monde autour de toi.

Il change, il bascule, il réclame autre chose.


Avant, on idolâtrait des artistes, des écrivains, des chanteurs pour leurs œuvres. Aujourd’hui, ce qui nous touche, ce qui nous accroche, ce n’est plus seulement ce qu’ils créent : c’est qui ils sont derrière. Leur vulnérabilité. Leur vérité. Leur façon d’habiter le monde.


C’est pareil pour les influenceurs. Tu peux penser que ce qu’ils font est superficiel : des tutos maquillage, des vidéos de mode, des placements de produits… Mais si des millions de personnes les suivent, ce n’est pas pour leurs rouges à lèvres ni leurs vêtements. C’est pour leur énergie. Parce qu’ils osent être. Parce qu’ils ont compris, parfois sans le savoir, que l’être est plus fort que le faire.


Et c’est ça qui attire.

Pas l’action. L’être.

Pas la performance. La présence.


En 2025, plus que jamais, on a soif d’authenticité. On veut des gens vrais, alignés, clairs avec eux-mêmes. Pas des façades, pas des rôles à jouer.

Peu importe si tu changes d’activité, si tu es vendeuse de tapis le lundi et conseillère en maquillage le jeudi : ce qui compte, ce n’est pas ce que tu fais, c’est comment tu incarnes qui tu es.


Tes amis, ta famille, les gens que tu aimes… tu ne les aimes pas pour ce qu’ils font. Tu les aimes pour ce qu’ils sont. C’est leur essence qui t’attire, leur lumière, leur vérité.


Et c’est ça qui change le monde. Des gens qui s’assument. Des gens qui osent se montrer. Des gens qui prennent leur place.


Alors oui, sois toi.Sans filtre. Sans artifice.

Parce que le seul vrai moyen d’être aimé, c’est d’être aimé pour ce que tu es.


J’ai mis du temps à le comprendre. Trop de temps, parfois. Ça m’a coûté des relations. Mais aujourd’hui je sais.


La clé, ce n’est pas de faire.

La clé, c’est d’être.


Parce que le monde n’a plus besoin de perfection, mais de vérité.

Il n’a plus besoin de masques, mais de visages réels.

Il n’a plus besoin de performers, mais de présences.


Et si chacun osait enfin être lui-même, sans fard ni rôle, le monde changerait plus vite qu’on ne l’imagine.



Love,

Alessa


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