Parce que le monde n’a plus besoin de perfection, mais de vérité.
Il n’a plus besoin de masques, mais de visages réels.
Il n’a plus besoin de performers, mais de présences.
Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu une imagination débordante. Pas juste fertile. Débordante. Genre chutes du Niagara.
Petite, je voyais des trucs, j’entendais des voix (les bonnes, pas celles qui font qu’on t’enferme), et je vivais carrément dans des dimensions parallèles.