Se nourrir pour incarner la lumière
- Stéphanie Dordain
- 29 avr.
- 3 min de lecture
Dernière mise à jour : 2 mai
Se nourrir pour incarner la lumière
S’alimenter n’est pas un simple geste biologique.
C’est un acte de création vibratoire.
À chaque bouchée,
nous choisissons d’incarner davantage l’amour ou la séparation.
Nous choisissons soit d’élever notre matière vers notre lumière originelle,
soit d’alourdir notre densité et de prolonger l’oubli.
La nourriture que nous accueillons dans notre corps devient notre chair,
notre sang,
notre souffle.
Elle est mémoire,
elle est fréquence,
elle est responsabilité sacrée.
La mémoire vivante dans les aliments
Chaque être vivant porte en lui une histoire vibratoire.
• Les animaux terrestres,
portent une conscience émotionnelle forte.
Ils vivent la peur, l’amour, l’attachement, le deuil.
Manger un animal, c’est incorporer ses blessures, ses angoisses, sa souffrance.
• Les poissons,
vivent selon une conscience plus collective, instinctive.
La douleur existe aussi, mais elle est plus diffuse.
Cependant, le stress des captures massives laisse une empreinte vibratoire de peur et de confusion.
• Les coquillages et crustacés
sont plus proches des rythmes élémentaires de la Terre et de la Lune.
Leur conscience est plus fluide, plus minérale que véritablement émotionnelle.
Leur impact vibratoire reste plus léger, plus “cyclique” que traumatique.
Mais quoi qu’il en soit :
Toute vie prélevée par contrainte laisse une empreinte dans le vivant.
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Le paradoxe du produit laitier
Le lait semble nourricier.
Il porte la mémoire du soin maternel, de la vie donnée.
Mais dans les réalités de notre monde,
il porte surtout aujourd’hui la mémoire du vol, de l’arrachement,
de la séparation d’une mère et de son petit.
Car pour produire du lait,
la vache doit donner naissance,
puis être privée du lien naturel à son enfant.
À travers le lait et ses produits dérivés,
nous absorbons inconsciemment la mémoire de ce deuil, de ce déséquilibre.
Nous amplifions une vibration de perte, de nostalgie,
qui alourdit subtilement notre propre cœur énergétique.
Pourquoi est-ce “mal” au regard de la vibration de la Source ?
Il n’y a pas de jugement moral dans la Source.
Mais il y a des équilibres vibratoires.
Quand nous renforçons la souffrance,
quand nous enfermons, arrachons, contraignons un autre vivant,
nous nous éloignons de notre propre nature divine.
Nous alimentons alors des champs de peur, de douleur, de séparation.
Nous densifions la matière.
Nous alourdissons la mémoire collective terrestre.
Ainsi, oui, dans le cadre vibratoire de l’âme,
prolonger inutilement la souffrance est un désalignement.
Un appauvrissement.
Un ralentissement de notre propre ascension.
Le poids de la densité
Quand nous consommons un être vivant,
nous n’absorbons pas seulement sa mémoire émotionnelle,
mais aussi sa matière densifiée.
Le corps d’un animal est une construction vibratoire dense :
un tissage de chair, de sang, d’os, de souffles lourds,
portant la mémoire de la pesanteur terrestre.
Manger un animal, c’est accueillir cette densité dans notre propre corps subtil.
C’est alourdir nos cellules d’une vibration plus lourde que celle de notre essence naturelle.
Ainsi, plus notre alimentation est dense et issue de la souffrance,
plus notre canal d’âme devient bridé, ralenti, opacifié.
La matière ne devient plus un temple vivant,
elle devient une prison vibratoire.
Et ce n’est pas notre nature véritable.
Nous sommes ici pour alléger la matière, pour lui redonner sa capacité à vibrer la Source.
Le choix de la conscience vivante
Choisir ce que l’on met dans son corps,
c’est choisir de se souvenir ou d’oublier.
• Se nourrir de fruits, de graines, de légumes, d’eaux pures
c’est honorer le don libre de la Terre.
• Se nourrir d’êtres blessés, arrachés, brisés,
c’est entretenir la fracture entre la Source et la matière.
Et notre chemin d’âme est précisément de refermer cette fracture.
Se nourrir pour devenir un temple vivant
Se nourrir n’est plus un acte banal.
C’est un acte de lumière.
Nourrir son corps,
c’est nourrir son âme.
C’est rappeler au vivant son droit sacré à la douceur, à l’harmonie, à la joie.
En allégeant ton alimentation,
tu ne perds rien.
Tu retrouves tout ce que tu es déjà.
Je te propose un mantra à répéter avant chaque repas si tu le désire 💫
“Je me nourris de lumière.
Je choisis d’honorer chaque vie.
Je choisis d’incarner le paradis dans chaque cellule.
Je choisis de redevenir ce que j’ai toujours été :
un éclat vivant de la Source »
Stephanie ❤️

Merci Stéphanie pour ce texte authentique. Je te rejoins sur tes mots si bien choisis et cette vérité où plus la nourriture "physique" est légère, vibrante, plus elle permet de se rapprocher de l'énergie spirituelle, de la Source, de notre être essentiel.
Puisse ton beau message toucher et aider à la transformation humaine le plus possible pour enfin respecter l'ensemble des autres êtres vivants sur cette terre et retrouver le sacré de chaque vie 🙏 🧚♀️.
Bonjour, comment fait-on pour ne plus manger de viande quand nous aimons ça, j'aimerais vraiment m'en passer mais je n'y arrive pas 😢 merci pour vos conseils 💖🙏🏻🙏🏻✨✨